Méandres de l'âme. Il tourne et lentement se pose, le temps d’un aller-retour ; le temps a tout pris des dérives et des jours. Mon cœur solitaire chevauchait dans le vent, mon âme perdue n’avait ni port ni attache. - Voilà où j’en suis, me disais-je, à errer dans un couloir sombre où la morsure du passé s’abat sur mon présent, où les chants des cantiques ne sont que des pleurs, où mon âme se meurt et mon corps agonise. Il n’y avait ni soleil ni étoiles, ni douceur ni chaleur. Il suffisait d’un pas pour trébucher, de deux pas pour s’écrouler. Et les plaintes incessantes de mes bras malheureux arrachaient à la nuit un soupir mélancolique. De la vie le sourire me paraissait étranger, beau et lointain, bon pour d’autres mais pas mien. Jusqu’à ce jour béni où transcendant mon univers, avec force et douceur tu m’apparus. Calme et souriant, ta chaleur apaisante su calmer le flot incessant des lamentations de mon cœur. Mes peurs s’évanouirent pour n’être plus que des fantômes qui...
" In such a future, indeed, or from its perspective, our own cultural tradition, the monuments of power societies... as well as the stories."